©Lellia

Ariel Merfolk feat. Célébrité, Libre Âge (entre 12 & 18): 17 ans District: 3 Famille: Compétences: Course, utilisation d'outils mecanique, creation d'explosifs,camouflage, création de feu Spécialité: masses à piques

Parlez nous de votre personnage

Mon histoire commence, je présume comme celle de tout habitant de Panem.. Du moins ceux de mon district. Mon district est assez éloigné du capitole, pourtant sans nous, cette grande cité ne pourrait pas fonctionner sans nous, qui nous occupons de l'électronique. Ma mère est boulangère dans le district. Normalement tout le monde est censé aller travail aux usines pour la création et l'entretien des véhicules, mais comme dans tout district il faut des commerçant et ma mère est plus ou moins de ce genre. C'est elle qui fait le pain, de la simple miche aux croissants les plus délicieux. Mais revenons à ce qui vous intéresse, ma vie, du moins, le prélude de celle-ci, car comment peut-ont dire qu'on se soit construit une vie a à peine dix-sept ans, dans l'un des districts les plus pauvres de tout Panem. Nous vivons dans ce qui semble être une ancienne grande ville de ce pays que l'on appelés il y a si longtemps, Amérique du nord, ou États-Unis d'Amérique si l'on veut être plus précis. Comme le rappelle chaque année le Capitole, nous étions treize district autrefois, chacun à sa spécialité, l'électronique pour nous. Bref, Je m'appelle donc Ariel Merfolf. Fille unique depuis deux ans. Oui. J'avais un frère avec qui je partageais tout, qui était mon reflet dans ce monde. Et que j'ai vu mourir lors de la première édition des hunger games, abattu comme un animal à l'aide d'une hache par un de ces salopards du district un. Depuis, je ne peux m'empêcher de me réveiller chaque nuit hurlant de terreur, le corps recouvert de sueur. Je revois ce corps se déchirer en deux lorsque la lame vint se ficher dans son thorax, le transperçant de part en part, le laissant retomber tel une poupée de chiffon avant cet immonde coup de canon annonçant que j'étais désormais seule pour le restant de mes jours. Bien entendu dans la journée qui suivi, nous reçûmes le cercueil en sapin grossier dans lequel reposez le corps de mon défunt frère. Mais je ne pue me résoudre à l'enterrer ainsi et nous fîmes rouvrir le cercueil, lui mettant un de ses plus beaux costume, agrémentant sa chevelure rousse encore marqué par le gel qui avait servi à en faire la plus exquise créature que mes yeux aient jamais vu deux jours auparavant, lors de son interview où il avait fièrement indiquer:

«Même si je meurs, une part de moi continuera vivre...»

C'était sa façon de me redire que même s'il ne s'en sortait pas...ce qui était plutôt fréquent pour les tributs du district trois, il fallait que je continue à vivre pour lui, pour que le capitole n'ait pas pleinement gagné. Puis une fois parée de fleurs, nous fermâmes son cercueil, dissimulant à tout jamais son visage radieux aux doux rayons du soleil.

Puis le temps passa. D'une adolescente maigrelette, aux jambes aussi épaisses que des bâtons de bois, je devins une splendide jeune fille. Du moins c'est ce que ma mère me répétez sans cesse. Et il était vrai que les garçons commençait à s'intéresser à moi, mais très peu d'entre eux osaient m'approcher, moi, la fille du boulanger. Étrangement depuis ce jour, je voue une haine sans nom pour le district un et me réjouis de les voir mourir depuis lors des éditions précédentes. Pourtant, ce n'est pas eux qui ont tué mon frère, c'est le capitole et sa foutue loi des hunger games.

Bien entendu, personne ne m'entendra jamais proférer ce genre de choses à haute voix, je risquerai de me faire tuer sur le champ par les pacificateurs et ma mère avec surement. Mais j'avoue que j'aurai profondément aimée pouvoir cracher au visage de ce tribut du un.

Pourtant, j'avale ma rancoeur chaque jour. Je souris, j'essaye de vivre cette vie qu'on a volé à mon frère en priant pour que mon nom ne sorte jamais dans cette loterie de la mort. J'y ai déjà échappée un an, mais je dois encore prier durant deux ans avant d'être totalement libérée de cette peur viscérale de me retrouver dans l'arène à devoir combattre d'autres adolescents.

Cette année se tiens, les seconds hunger games. Mais ensuite? Qui me dit que je n'entendrais plus jamais le nom de Merfolk dans le micro?

Pour l'instant je me raccroche à l'espoir que mon frère me protège de là où il est, en compagnie de mon père mort lors d'un accident à l'usine. Qu'il veille sur nos vies à moi et maman. Maman, autre fois si belle, si forte, aux longs cheveux roux comme les miens, qui a failli tomber dans cet enfer qu'est la drogue... Comment pourrait elle survivre si sa fille servait de pâture à ces monstres colorés du capitole?

Surtout avec ces tesserae que j'ai dû prendre l'année suivant la mort d'Adrian. Cette année maudite ou ma mère du faire son deuil dans la somnolence et les pleurs. Je ne peux pas être appelée au sacrifice...non c'est impossible....

The Cornucopia soutient la création; cette fiche a été codée par Orange de CSSActif

Bonjour et bienvenue sur le forum.
La fiche en elle-même ne contient pas de problèmes. J'aime bien l'allusion à la 1ère édition. En revanche, avant de te valider, je te laisse corriger les petites fautes d'innatention ici et là . C'est plus de la syntaxe, en fait. Une fois que c'est fait, je te valide sans attendre.

Shandris K. Penelune a écrit:

C'est moi qui l'ai tué, Nate xDDD !