Piège :

Le Capitole s'ennuie terriblement devant cette quatrième édition, aussi, les créateurs ont-ils décidé de faire bouger les chose en mettent en place de nouveaux pièges.
Un vent violent se lève, faisant ainsi bouger les nuages en tout sens. La vie du Tribut est mise en péril si elle n'agit pas !
vous avez une semaine IRL pour répondre et vous dégager de ce pétrin, soit un jour dans l'arène, sans quoi la Mort ne sera plus une option.

J'ai donc pris la porte numéro 23 espérant retrouver la fille et la tuer. Je voulais en finir rapidement et rentrer chez moi et peut être y retrouver ma belle petite styliste. Je venais de refermer la porte derrière moi et un décors plutôt étrange se montrait à moi. J'avais la tête à l'envers et me trouvais sur des nuages, des nuages ?! Non mais c'est quoi cette arène bizarre ? Quand je lève le tête je vois une étendue d'eau qui me tombe sur le visage comme si il pleuvait. J'avais le sang qui commençait à me monter à la tête, je devais tenir mon sac au risque de le voir tombé dans l'eau. J'ai mis du temps à comprendre où j'étais, comment j'allais pouvoir sortir d'ici. La porte derrière moi avait disparut et le vent faisait bouger le nuage sur lequel j'étais. Une sorte de tempête se préparait, un vent qui venait de je ne sais où fit bouger dans tout les sens tout les nuages, j'essayais de rester stable. Mais comment je pouvais rester stable sur un nuage ? étrange, je pensais qu'on passait à travers les nuages et non qu'on pouvait rester dessus. En mêmes temps être la tête en bas et avoir l'eau du lac qui me pleut dessus n'est pas vraiment normal non plus. Il fallait que je trouve une sortie et rapidement. Une porte surement, je ne voit pas autre chose. Je regarde tout autour de moi et vois plusieurs portes loin à l'horizon, si on peut appeler ça un horizon. Il allait falloir que je saute de nuage en nuage, mais rien n'est simple avec cette tempête du diable. Il fallait que j'attende que ça se calme ensuite je tenterai quelque chose. Cette zone me posait vraiment problème, je suis resté plus d'une heure à attendre que cette tempête se calme, mais elle n'en avait pas encore fini avec moi, je commençais à m'impatienter et je voulais partir d'ici.

Piège :

Malheureusement, comme vous l'avez remarqué, la tempête ne s'est pas calmée. Au contraire, même... Elle fait de plus en plus rage, si bien que du simple vent, elle passe à de la pluie et du tonnerre, comme un orage d'été. Ils commencent d'abord loin, vous entendez le grondement menaçant puis de plus en plus rapproché. Faites attention, vous marchez sur d'où proviennent les éclairs. Et tout le monde sait qu'une décharge pareille peut être fatale...

Cette fois-ci, vous n'avez que 3 jours irl pour vous sortir de là. Bonne chance, et puisse le sort vous être favorable....

La tempête ne s'est pas arrêté, elle s'est mêmes amplifié, il fallait vraiment que je trouve un moyen de sortir de cette zone avant que l'orage n'arrive à moi. Les nuages commençait à se regrouper ne formant qu'un seul et gros nuage qui commençait à devenir plus foncé. C'était ma seul chance de pouvoir m'en sortir, je commençais à marcher dans la direction inverse il fallait que j’échappe à cette tempête. J'entendais l'orage gronder de plus en plus prés, ça se rapproché plus rapidement que ce que j'aurai pensé. Courir sur ce nuage serai vraiment risquait, j'allais attirer les éclaires sur moi et me faire électrocuter. Heureusement que mon père m'avait parlé de tout ça quand j'étais enfant, le premier réflexe que j'aurai eu c'est courir et j'aurai été grillé. Je marchais le plus rapidement que je le pouvais, pour atteindre les différentes portes que je voyais à présent. L'orage avançait plus rapidement que moi ça allait être juste pour arrivait à la porte avant qu'il ne m'atteigne. Mais comme si une bonne étoile trônait au dessus de ma tête j'avais enfin atteint ces fichu portes, j’emprunte la porte numéro trois, un chiffre qui me tenait vraiment à coeur, c'est la date d'anniversaire de mariage de mes parents. J'ouvre la porte et m'engouffre dans cette nouvelle zone, laissant cette tempête derrière moi.