La première soirée au capitole,enfin. Après tant de trépignation et d'exaltation notre beau blond y était. Chaque minute à attendre cet instant avaient été un supplice imposé par le sort lui qu'il avait provoqué quelques heures plus tôt en ce portant volontaire. Il avait sauvé un certain Maël Bullworth, un gamin d'à peine seize ans qui aurait crevé en arène pitoyablement. Il aurait fait honte au grand district quatre et ça s'était hors de question pour Chandler. Dans la mesure où il avait dix huit ans il avait vu cette moisson comme la sienne. Il se l'était pleinement appropriée depuis des mois et des mois pour lui s'était évident que le gagnant de cette année sera lui. L'homme n'envisage même pas l'échec depuis l'instant où il a levé le bras au ciel pour dire d'une voix forte - Je suis volontaire.- cet instant il l'a savouré. Tous ces regards tournés vers lui, les caméras rivées sur sa personne et cette marée humaine qui lui avait fait une haie d'honneur pour le laisser se détacher et s'avancer d'une amrche haltière vers l'estrade. Tout panem l'a vu et au fond de lui l'excitation avait évoluée en fierté. Il apprécia pour ne pas dire adora quand dans la voiture le conduisant à la gare avec son équipière se retrouva noyée sous les flash agressifs des médias. Il s'était contenté d'esquissé un demi-sourire sans les quitter des yeux comme pour affirmer la volonté et la force qu'il voulait dégager à cet instant. Dans tout ça c'est le voyage en train qui l'a le plus exaspéré, si court et à la fois si long, il ne s'était presque rien passé. Les membres imminant de ces jeux réunient autour d'une table noyée sous les mets gouteux du capitol. Il en a profité bien sur et a même écopé de quelques bons conseils mais jamais il ne l'avouera, trop fier qu'il est. Dans ses gestes, dans son esprit le déséspoir ? Pas de sa part en tout cas. Difficil de dire le contraire puisqu'il a brillé quand ils sont passés dans la foule amssive qui les attendaient à l'issu de leurs voyage pour le capitol. Il avait bombé le torse, droit comme un piqué et ce même regard froid et hautain qu'à son habitude. Toujours constant dans son attitude il ne s'abaissait pas aux pleures tradtionnels des tributs complétement perdus maudissant le sort de ne pas leurs êtres favorables. De quoi ils se plaignent ces sales gamins ? C'est un honneur de se battre pour la victoire et ce sera un honneur de mourir des mains du fameux Chandler Murrey. Chandler quel garçon déroutant de part un égo si grand ! Par la suite il découvrait avec légerté les appartements du quatre qui mettait les crustacés et autre poisson à l'honneur de part un immense aquarium mural qui tapissait tout le long couloir qui le menait à sa chambre. En compagnie d'Arnaud Trust ils les contemplèrent un instant. Ils nageaient comme affolé par la présence de blond massif qui les regardaient d'un regard carnassier. Arnaud ? Le mentor du quatre jusqu'à temps qu'il ne le devienne vraiment, lui Chandler. Avec le temps la contemplation l'avait lassé et il finissait par n'observer que son reflet si parfait. Las il avait gagné sa chambre si spacieuse et oisive, un appel au luxe. Il avait d'abord goûté au plaisir d'un lit d'au moins trois place pour lui seul pour finalement jeté ses vêtements négligeament au sol pour tester la cabine de douche. Elle était tapissée de petit galet rapellant la mer encore une fois tout était fait pour qu'il n'oublis pas ses racines dont il était si fier. Ses longs doigts fins tapotaient avec hésitation un écran tactil avant qu'un bruit mécanique -clic- retentissent et qu'une nuée de bulle envahissent la douche. Il tousse en avalant quelques unes dans la suprise et fait tourner une roulette atypique qui à pour effet de lancer quelques jets d'eau chaude qui ne sont pas déplaisant. Il choisit au final un gel douche senteur fruits des bois et un shampooing au miel et aux agents naturels de quetch. Faut pas se leurrer il y passa une bonne heure sous cette douche sans se lasser de jouer avec les intensités des jets, leurs chaleurs ecaetera. Après cela il en ressortis propre c'est clair mais surtout les yeux un peu rougis. Quand il s'en rendu compte il soupira mais c'est ça d'avoir des yeux bleus pourtant si beaux mais si fragils. Il se contempla un bon moment s'astiquant de toute part, recouvrant sa peau de lotion puis taillant cette barbe blonde si précieuse à ses yeux. Il passa tant de temps dans cette salle de bain que son regard bleu avait retrouvé tout son charme. Maintenant qu'il avait le tour de ce corps si aprfait qu'étais le sien le grand blond du haut de ses un mètre quatre vingt quatre ressentis le besoin de ce distraire. Il prit avec minutie une télécommande arrondis avant d'y poser un index insistant. Le mur réagit instantanément et une émission apparut sur le mur de sa chambre. Il parlait de la nouvelle couleur en vogue au capitol. Le vert olive ? Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Le beau carrière du quatre ouvrit son dressing à la recherche de vêtement plus élégant et plsu riche que les siens. Il trouva son bonheur dans un pantalon de costume bordeau en satin, des chaussures cirées pointues lui affinant le pied et un pull en coll "V" olive. Il remarqua q'un noeud papillon noir était associé à la tenue alors il le mit sans tergiverser. Après de longue minutes à se contempler dans le miroir pour être au final satisfait de son image le jeune homme décida de suivre le conseil de son mentor. Allez se détendre sur le toit qui offre une vue formidable à ce qu'il lui a dit. Il sort de sa chambre rapidement d'un pas vif passant devant un muet qu'il méprisa d'un regard hautain et claquant la porte derrière lui. Quelques secondes plus tard il s'engouffrait dans un ascenseur direction le toit. Quand il arrive en haut c'est dans une voix mécanique lui annonçant sa destination. Quelques secondes encore et il voyait déjà les prémices du toit et malheureusement de deux autres personnes. Des tributs c'est sur et pas des carrières c'est clair. Il le savait pour la simple raison qu'il avait regardé la retransmission de la moisson et qu'il allait de son intérêt de connaître chacun des tributs de son édition. Il suffirait qu'il voit leurs visages respectifs pour qu'il y mette un nom. Il s'avance discretement mais toujours aussi haltier vers eux mais aps à leurs rencontre. Il les ignoraient royalement.